💥 Trois semaines de grève le ministère de la Jeunesse et des Sports sous le feu des critiques
La grogne s’intensifie au ministère de la Jeunesse et des Sports, où les agents sont en grève depuis trois semaines, dénonçant des conditions de travail déplorables, l’application controversée de l’arrêté 27 portant affectations, et un manque flagrant de dialogue avec la hiérarchie.
Après 20 jours de blocage, le ministre a finalement signé l’arrêté numéro 31, instaurant une commission chargée d’examiner les requêtes liées aux affectations. Mais cette décision tardive est perçue comme une manœuvre dilatoire, destinée à calmer la contestation sans apporter de solutions concrètes aux véritables problèmes.
Un ministère sous pression
Les agents grévistes critiquent une gestion qu’ils jugent arbitraire et dénoncent un mépris total de leurs revendications. Pour eux, cette commission est un simple écran de fumée, alors qu’ils exigent des réponses immédiates sur :
- La révision de l’arrêté 27, jugé inadapté et injuste.
- La revalorisation des conditions de travail.
- Un dialogue sincère et constructif avec les autorités.
Un impact sur la jeunesse et le sport
Cette paralysie menace directement les programmes et projets destinés à la jeunesse et aux athlètes. Pendant que les agents se battent pour leurs droits, les jeunes du pays subissent les conséquences d’une administration bloquée.
Les questions qui fâchent
Pourquoi le ministère a-t-il attendu trois semaines avant de réagir ? Pourquoi ces mesures n’ont-elles pas été prises plus tôt pour éviter ce conflit ?
Le silence et l’immobilisme des responsables commencent à peser lourd. Une réponse forte et rapide est attendue, mais la confiance entre les agents et le ministère semble désormais brisée. La balle est dans le camp des autorités.