Black Mamba : La drogue synthétique qui menace la jeunesse tchadienne.
Un nouveau fléau inquiète les autorités et les familles à N’Djamena : la Black Mamba, également appelée Colorado. Cette drogue synthétique, qui circule de plus en plus dans la capitale tchadienne, se présente sous forme d’herbe aux couleurs variées, notamment jaune et verte. Mais derrière son apparence anodine, elle cache une substance hautement toxique et destructrice.
Une drogue aux effets dévastateurs
Selon des témoignages de consommateurs et d’experts, la Black Mamba serait composée de produits chimiques puissants, certains affirmant même qu’elle contiendrait du venin de serpent mamba. Bien que cette information ne soit pas scientifiquement confirmée, les effets observés sont alarmants : troubles du rythme cardiaque, lésions d’organes, troubles psychiatriques graves, et même des décès.
Plusieurs cas ont été rapportés à N’Djamena où des usagers ont été retrouvés dans un état second, errant comme des zombies ou devenus violents et imprévisibles. Des témoignages évoquent des jeunes totalement méconnaissables après quelques consommations, certains sombrant dans la folie, d’autres étant retrouvés morts.
Un marché en pleine expansion
La Black Mamba est vendue à bas prix, ce qui la rend accessible aux jeunes, notamment dans certains quartiers de la capitale. Le manque de sensibilisation et l’absence de contrôle strict favorisent sa prolifération. Selon plusieurs sources, des réseaux bien organisés seraient à l’origine de sa distribution, profitant du vide juridique et du manque de moyens pour lutter efficacement contre ce trafic.
Un appel urgent aux autorités
Face à cette menace grandissante, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler le gouvernement à agir. Parents, éducateurs et leaders communautaires demandent une répression ferme contre les trafiquants et une sensibilisation massive auprès de la jeunesse.
Plusieurs mesures sont suggérées :
• Un renforcement des contrôles pour stopper l’importation et la distribution de cette drogue ;
• Des campagnes de sensibilisation dans les écoles et les quartiers ;
• Un accompagnement médical et psychologique pour les victimes déjà touchées ;
• Des sanctions sévères contre les vendeurs et trafiquants.
Si rien n’est fait rapidement, la Black Mamba pourrait plonger une partie de la jeunesse tchadienne dans un cycle infernal de dépendance et de destruction. L’urgence est là, et il appartient aux autorités de réagir avant qu’il ne soit trop tard.


















































































































































































































